En faisant cette photo, j’ai touché du doigt quelques uns des avantages de mon petit hybride :
- soleil en face, c’est le capteur et non plus le photographe qui est ébloui. C’est infiniment moins désagréable… et beaucoup plus recommandé !
- on voit l’image que l’on va faire dans le viseur : moins de tâtonnements pour l’exposition notamment. Les informaticiens appellent ça le WYSIWYG : « What You See Is What You Get ». C’est tout juste si le bracketing est encore nécessaire !
- mon vieux 200mm Nikon devient un 300mm f/4 très compact sur ce petit capteur. Ok, à l’inverse, mon 18mm n’est plus qu’un banal 27mm, beaucoup moins appétissant…
Bref, pour certains « usages », comme ce coucher de soleil, je suis déjà convaincu…
Pour pas mal d’autres, j’ai pour l’instant l’impression que ne suis pas prêt de quitter mon bon gros reflex auquel mes mains et mes yeux sont tellement habitués qu’il en est devenu une sorte de « prolongement »…