Quelques très belles journées de cette fin Mars et un confinement nettement plus sympathique que l’an dernier m’ont permis de sortir un peu les Nikons. Et ils en avaient grand besoin ! Outre les démangeaisons dans l’index du photographe télétravailleur (dire qu’il y a deux ans, je prenais le chemin des écoliers pour aller au boulot !!), j’étais pressé de rechercher mon ami Goupil et, peut-être, sa progéniture de l’année. Gourmand aussi de ces matins brumeux qui m’ont tant manqué ces derniers mois. Et enfin, aussi, curieux de voir comment ma carcasse rouillée allait réagir au poids du matos, aux marches devenues si raides…
Le résultat n’est pas folichon… Rayon d’action réduit. Et je vais essayer d’expérimenter une solution de portage qui me paraît prometteuse plutôt que de renoncer au téléobjectif. Et si jamais ça ne suffisait pas, je passerais à du matériel plus petit, plus léger… On n’y est pas encore mais tout cela occupe pas mal d’espace dans ma tête de photographe cabossé. Qui fort heureusement ramène encore des images de ses balades de « sa » forêt du bout de la rue !